Charles Pasqua, sénateur, ancien ministre de l’Intérieur, une des figures historiques de la Vème république, est né le 18 avril 1927, 15 heures à Grasse. A 83 ans, il fréquentait depuis un temps les tribunaux pour diverses affaires dont celle des contrats de la Sofremi ; le jugement du 30 avril le condamne à 1 an de prison avec sursis - l’avocat général avait requis quatre ans de prison, dont deux ferme, 200 000 euros d’amende ainsi que la privation des droits électifs. [1]

Charles Pasqua 18 avril 1927 - 15h à Grasse

L’intérêt de publier l’horoscope de naissance de Charles Pasqua ce n’est pas bien sûr de discuter sur le bien-fondé de la décision de justice, elle a été rendue. En revanche le symbolisme reconnu de Jupiter comme « entregent », « chance »,« protection »... mérite qu’on s’y arrête.

Dans l’horoscope de naissance de Charles Pasqua, Jupiter est en Poissons sur les 21° au Descendant (maison 7) ; cette antenne de l’horoscope contient le symbolisme - et bien d’autres choses encore - des procès et autres litiges de la société. En outre ce Jupiter de naissance est en son « domicile » et fort bien soutenu par triangulation (orbe large) vers la Lune et Pluton.

Or en 2010, le 18 avril, c’est Jupiter en Poissons qui fait son retour cyclique sur la position natale ; il est sur les 24° au temps du verdict de la Cour de justice de la République (CJR). Pour le moins, la position jupitérienne à la naissance en Poissons (21°) au Descendant, doublée de celle du « retour cyclique » (12 ans), aura joué pleinement son rôle de « garde-fou » quant à une condamnation avec prison ferme - de type Saturne (privation) cette fois.

On ne dira jamais assez : posséder un Jupiter bien placé en quelque point clé de l’horoscope de naissance c’est autant d’appuis, de protections, de réalisations, et ceci vaut autant pour un sénateur, un ministre ou quelque notable, que pour un voleur de prunes dans le cas d’un procès. Bien sûr, ça n’exclue pas l’événement (la procédure) mais ça « nuance » les conclusions.

Voilà, la farce est finie ; place au 1er mai avec les défilés, les ballons, les slogans, la pseudo révolution populaire, le brin de muguet ; autre théâtre de Guignol.

Marc Cerbère, le 30 avril 2010