Christiane Taubira

Mme Christiane Taubira, née le 2 février 1952, 19h à Cayenne, Guyane vient d’être nommée ministre de la Justice dans le 1er gouvernement de M. Ayrault.

Femme de caractère au franc parler légendaire la nomination de Mme Taubira est à la fois une surprise pour le monde politique et une sacré promotion de carrière pour elle à ce ministère régalien - un aboutissement - , même si la justice n’est pas sa spécialité : Mme Taubira est diplômée d’économie et d’agro-alimentaire à Paris, et ancien professeur de sciences économiques. Mais tout le monde, ou presque, comprend qu’un ministre est, à notre époque, une « image » ou un « symbole » et que les cabinets ministériels grouillent, dans l’ombre, de conseillers et techniciens qui font le boulot. Aux politiques et ministres le ministère de la parole.

Ch. Taubira, ciel de naissance

Avec une Lune en Taureau, un Soleil en Verseau, un Jupiter fortement dissoné (triangle isocèle) au lieu de l’antenne 8, on peine à trouver un signe qui indique le garde des sceaux.

 En revanche, le retour de Saturne (deuxième à 58-59 ans - 2010-11) céleste au lieu du Saturne de naissance en Balance (justice) est probablement déterminant, outre la conjonction de ce même Saturne sur le Neptune (gauche), une conjonction Saturne-Neptune étant formée dans le ciel de naissance. Comme l’ensemble du gouvernement, Mme Taubira reste dans l’attente des législatives des 10 et 17 juin 2012.

Tout comme M. Ayrault, Premier ministre, le ciel de Mme Taubira est frappé par la quadrature Uranus-Pluton, et ce en phases directes. Mais elle bénéficie également du lien de concours de Jupiter en Gémeaux 2012-13 vers son Soleil et Saturne. Ici encore, l’extrême fébrilité du ciel se repère à partir de la mi-2013, voire 2014. Mais les prémices, c’est tout de suite. Un des risques, au préalable, tient du tempérament de Mme Taubira. Pour le reste, c’est l’impact du carré Uranus-Pluton sur la collectivité et donc sur le gouvernement.

« Bonne chance » sous le ciel du carré Uranus-Pluton, Mme Taubira.

Marc Cerbère, 16 mai 2012