Tout d’abord, notre visiteur a peut-être constaté l’impossibilité d’accéder au site AstresNet - et aussi au site de consultations - aujourd’hui, durant plusieurs heures. La recherche de la cause exacte de cet « incident » est en cours d’exploration, probablement une surcharge des interactions de la base de données, du fait d’un nombre conséquent de visiteurs, et donc de requêtes, malgré un serveur virtuel pro. Mais, aucune autre hypothèse n’est à exclure en ces temps troublés. Quoi qu’il en soit, la forme actuelle du site devient de plus en plus désuète, c’est-à-dire la publication régulière de contenus gratuits. C’était le web d’avant. Une autre forme va naître, mais l’accouchement n’est pas encore prévu à date fixe ; celui-ci est toutefois inéluctable.

Les choses peuvent maintenant reprendre leur cours normal.

La première décade du mois de juillet amorce une période où la France va s’assoupir pendant deux mois, alors que le pays n’est pas connu pour son allant en période d’activité ; il faut dire que rien n’engage vraiment à l’initiative, ou au maintien de l’effort, tant les charges pèsent sur le travail, tant il est finalement plus judicieux de ne rien faire tout en tétant aux mamelles de l’État providence, tant enfin le gouvernement socialiste impose de travailler plus pour gagner moins. Et puis la vie chère, et puis, et puis.

Mais, les Français partent pourtant nombreux en vacances. Paradoxe ? Non, car beaucoup d’entre eux, même si on les aperçoit au volant d’une voiture rutilante [à crédit], font une demande de crédit [Cetelem, autre], limitent les frais accessoires [souvenirs, fringues, restaurant], se rabattent sur la bière et le sandwich à l’heure du repas, au prétexte de profiter de la plage, outre qu’ils louent un studio cabine, prévu pour 4, et l’occupent à dix [chien, chat, tourterelle, mouflets, collègues - sans parler des accessoires : bouée, ballon, parasol, vélo, autres] ; tout cela, ces vacances à crédit, à la française, est archi-connu de ceux qui vivent dans le Sud, les autochtones, au bord de la mer. On se marre bien à les voir - on les calcule, on les épingle, on les trie, on en fait des courbes, des statistiques : « Qui sera le plus couillon d’entre eux, eh con ! », ces fiérots bedonnants, avec leur meuf aux seins qui pendent sans chair, affligée de cellulite, plaie variqueuse datant, et même en saisissant une génération plus jeune, plus aguichante, en fouillant un peu, ces aventurières, encore pucelle ou « femme libérée » [de quoi ?], qui accordent leurs faveurs pour une, deux, trois tournées [au moins, eh oui, elles sont comptables de leur vertige, pas folles les guêpes] en boîte, sans parler de ces petits cons désormais saisonniers qui incendient les poubelles, bref ces sans-le-sou vaillant, qui sévissent deux mois de l’année ; c’est suffisant, et bye bye ! C’est le Sud, c’est le « balnéaire », c’est le « Saint-Tropez du pauvre ». Et c’est le gros de la France estivale d’aujourd’hui. Et de la France de M. Hollande, un pauvre sire.

Heureusement, le Sud ce n’est pas que cela, et les gens peuvent être accueillants, dans la vie, à la maison, au détour d’une conversation, d’une rencontre. Mais, c’est difficile, de plus en plus, ici comme ailleurs. Surtout, du moins en situation balnéaire, il n’y a pas de gastronomie, rien que du congelé, du réchauffé, du poisson venant d’ailleurs... - le comble !, et donc ça limite les choses, c’est un fait, il faut le dire. Oui, le Sud en bord de mer, en pleine saison, ça ne vaut pas grand chose. Reste cependant dix mois par an à vivre tranquillement, sans les envahisseurs, les touristes, pour approcher le vaste de la mer, loin des agitations ; c’est donc une destination heureuse pour le repos de l’âme à presque plein-temps.

Voilà où nous a menés M.Hollande en moins de cinq années, au bord du précipice. Cinq années perdues ; il ne faudrait pas encore cinq années comme celles-ci, car alors nombre d’entre nous rejoindraient la communauté des sans dents. Et M. Hollande veut relancer l’Europe. Mais que ne l’a-t-il pas fait durant son quinquennat. A droite, guère mieux. A la droite de la droite, comme à la gauche de la gauche, pire encore, des amuseurs, à débiter des sornettes. Pauvre embarcation que la France, pas de capitaine. 2017 à reculons, hélas.

VISION GLOBALE DE LA DÉCADE

Les interactions des planètes lentes demeurent en l’état, i.e., le triangle dissonant Jupiter-Saturne-Neptune, et la sortie par le haut avec le trigone Jupiter-Pluton, mais les « rapides » [Mercure, Soleil, Vénus] dans le signe du Cancer sont en relais par sextils et trigone à la pointe de Jupiter et de Neptune.

Le signe du Cancer est donc mis en exergue, au sens général comme particulier, avec le symbolisme de famille, de clan, de parti, de racines, d’origine, de migration, de voyage. Et les phases des « rapides », entre harmoniques et dissonances, influenceront entre apaisement et tension, à la recherche d’un équilibre, non acquis d’avance, autant le souligner, car ce n’est en aucun cas une série de « rapides », par essence de portée éphémère, qui peut offrir une solution pour les mois à venir, surtout dans le cas d’une crise profonde.

LES PHASES DES « RAPIDES »

Une série d’interactions des « rapides » sur la pointe des lentes [Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton] entre aspects majeurs et mineurs, harmoniques et dissonants, ceux-ci devant être compris comme des relais à quelque situation de tension ou de crise, du triangle dissonant des planètes lentes - Jupiter-Saturne-Neptune -, en tenant compte du trigone Jupiter- Pluton ; c’est pas gagné.

— Vénus opposition Pluton 01/07/2016
— Vénus sextil Jupiter 01/07/2016
— Soleil quinconce Saturne 02/07/2016
— Soleil trigone Neptune 03/07/2016
— Mercure quinconce Saturne 05/07/2016
— Soleil parallèle Vénus 05/07/2016
— Mercure trigone Neptune 05/07/2016
— Vénus trigone Mars 06/07/2016
— Soleil conjonction Mercure 07/07/2016
— Mercure opposition Pluton 07/07/2016
— Vénus carré Uranus 07/07/2016
— Soleil opposition Pluton 07/07/2016
— Mercure sextil Jupiter 08/07/2016
— Soleil sextil Jupiter 10/07/2016

NÉGOCIATION

Pour le cas général - ici et maintenant dans le contexte de tous les signes du zodiaque -, la première décade de juillet 2016 va dans le sens d’un symbolisme de négociation, de tentative de conciliation [ou de réconciliation], et de recherche du contrat social ou privé, qu’il soit en crise, en voie de perte, ou de reconquête. Témoins sont les phases des « rapides »[les 1er, 5, 7, 8, 10], mais dans un conteste souvent de crise, de division [voie sociale, privée], de sorte qu’entre les tensions [les 1er - Vénus opposition Pluton -, 7 - double tension entre opposition et carré, et conjonction Soleil-Mercure], un compromis peut être trouvé, mais il est peu probable qu’il soit durable [sep.-oct.], car si le Cancer [famille, réunion, racines] est en exergue, à notre avis tout ceci ne dépassera pas l’équinoxe d’automne [Balance], et sera donc remis à discussion, ou en question. A noter que ce qui vient d’être écrit ne concerne pas une signature d’acquisition d’un bien immobilier [sauf tension à venir dans le couple, les associés] ou d’un contrat d’affaires [achat/ventes - quoique la position de vendeur soit meilleure].

Cela posé,

— Faveur en amour ou confirmation, les 1er, 5, 6 ;

— Accord, signature, les 1er, 2, 5, 7, 8, 10

— Immobilier, succession, procès, les 1er, 5, 7, 8, 10

Mais, toute chose demeure fragile [sauf signature, investissement] sous ce ciel pour le moyen terme, et a fortiori pour le long terme.