Ce samedi 13 juillet, les Américains ont reçu un rappel brutal de la menace que représente la violence politique. Donald Trump a été victime d’une attaque aussi brutale qu’inattendue et c’est une chance qu’il n’ait pas été sérieusement blessé par balle lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie ; une tragédie qui a néanmoins tué une personne et blessé deux autres.

Le thème astrologique de Trump, né le 14 juin 1946 , 10h54’ à Jamaica, New York, étant largement connu, tant de ses aficionados que de ses adversaires, je ne le reproduirait pas ici, pas plus que celui, parfaitement inconnu encore hier, de l’auteur de l’attaque par arme de poing, Thomas Matthew Crooks , né le 20 septembre 2003 (heure inconnue). En revanche, je préciserai certains points astrologiques, savoir :

 Trump dispose d’un Mars/Lion au lieu de la maison XII, une position critique que peut exposer à diverses calamités : cabale, procès, emprisonnement, attentat, revers.

Au moment de l’attaque subie, c’est une conjonction Mars-Uranus qui culmine au lieu du Milieu du Ciel de Trump et au carré de son Mars de naissance en maison XII.

 Thomas Matthew Crooks , l’agresseur, né le 20 septembre 2003 (heure inconnue) dispose quant à lui d’une conjonction Mars-Uranus (R) quasi exacte entre la toute fin du Verseau et le début des Poissons.

Il est impressionnant, du point de vue astrologique, que l’attaque se soit produite en période de formation d’une conjonction Mars-Uranus en orbe de 1° de l’avant (exacte le 15), réactualisant les influx (pulsions) présentes dans le thème de l’agresseur et actualisant les possibles des transits présents dans le thème de Trump : la conjonction céleste Mars-Uranus si elle expose à l’imprévu, à l’inattendu, peu aussi exposer à l’accident, à la violence.

Les républicains comme les démocrates, les Américains au sens large donc, devraient faire preuve d’une parfaite lucidité dans leur approche de la vie politique, les insultes comme la violence étant rarement source de fécondité et d’équilibre. Et cette remarque vaut aussi pour notre cher et vieux pays, la France.

Dieu bénisse l’Amérique, comme ils disent.