De Jacques Chirac à Nicolas Sarkozy
AstresNet.org | samedi 5 mai 2007 | par
Tout d’abord, la prévision astrologique d’une échéance présidentielle est une démarche complexe, non tant par le symbolisme de fond que par l’appréciation subjective de l’astrologue. En effet, le risque existe bel est bien d’une confusion dans l’interprétation des données symboliques brutes dans le rapport sujet (l’interprète-astrologue-électeur) objet (l’élection du candidat).
Cette difficulté se retrouve lorsque l’astrologue est saisi d’une interrogation concernant un proche, ami, etc. Pour ma part, je m’y refuse depuis un temps, après avoir largement consenti, par le passé, à l’exercice, souvent avec d’heureux dénouements prévisionnels mais jamais sans tiraillements intérieurs, et surtout par une perte étendue du temps de l’approche de la consultation. Ai-je, depuis, moins d’amis ? Ma foi, cela se peut tant il est vrai que j’ai rarement vu des êtres humains me fréquenter sans qu’une étape majeure de la destinée les tenaillent ; puis, ils s’en retournent à leur vie.
Rappel du 1er tour, le 22 avril 2007
Dans une livrée prévisionnelle du 3 avril, j’avais annoncé les challengers, signalant qu’un 21 avril n’était pas dans l’air, qu’il était difficile de savoir, astrologiquement parlant, si les voix nationalistes (FN) issues de la quadrature Jupiter-Uranus iraient directement sur M. J.M. Le Pen, ou si elles alimenteraient la candidature de M. N.Sarkozy. Enfin, j’annonçais sans équivoque un duel Droite/Gauche, l’hypothèse Bayrou m’apparaissant comme un opportunisme de circonstance.
Aux résultats du 1er tour, Nicolas Sarkozy (Droite) et Ségolène Royal (Gauche) se sont retrouvés face à face, tandis que M. J.M. Le Pen a subi un « hold-up électoral » et que M. F. Bayrou a été éliminé - non sans rallier à lui une masse électorale conséquente mais volatile, au devenir incertain, se situant dans une voie d’opposition et une sorte de "parti de veille, de vigilance démocratique" sous couvert de "centralité’ avant de devenir, peut-être, un parti avec sa cohérence et ses visées pour la prochaine échéance présidentielle. Nous n’en sommes pas encore là, et il faudra compter avec les élections législatives. A mon avis, et d’après les cycles, un tel parti est appelé, d’un plus large demain, à se rapprocher d’une tendance de centre gauche (notons que le "glissement" de la Gauche au Centre à une valeur uranienne - Uranus - c’est à dire qu’elle se droitise, d’où une certaine confusion entre un ancien Centre qui va à Gauche et une Gauche qui va à Droite. On comprend la confusion des électeurs !), ou à une coalition de même nature avec une ligne du PS - sinon : à mourir dans l’œuf.
De Jacques Chirac à Nicolas Sarkozy
1° Deux figures astrologiques sont intéressantes en ce qui concerne une "valorisation solaire" pour un candidat à l’élection présidentielle. Ainsi de celle de Valéry Giscard d’Estaing en 1974, et celle de Nicolas Sarkozy en 2007. Ces deux thèmes anniversaires présentent un soleil à la culmination (mise en lumière, couronnement, etc.) ainsi qu’une valorisation jupitérienne (Jupiter au Milieu-du-Ciel pour Giscard) et Jupiter au Descendant (le contrat, le mandat). Ces deux signifiants planétaires sont d’ailleurs reliés en harmonique (trigone= dynamique) à une Lune en Gémeaux à l’ascendant (la foule - Lune) venant à soi par le bulletin (Gémeaux).
Je donne plus bas ces 2 figures.
Ces deux figures, calculées il y a déjà plusieurs mois alors que j’étudiais des corrélations entre naissances d’hommes politiques et leur destinée au sens électif m’avaient frappé. Bien évidemment, chaque élection ne présente pas la même corrélation Soleil/MC et variable jupitérienne. Mais une telle répétition de valorisation solaire et jupitérienne n’est pas, pour l’astrologue, une simple coïncidence mais bien un facteur de manifestation de la destinée (fatum = Milieu-du-ciel ou MC).
Note : Le thème de révolution solaire anniversaire (sept.2006) pour la candidate socialiste, Ségolène Royal, montre aussi une conjonction Soleil-Lune au MC, mais très dissonante, outre d’autres aspects cycliques dans le thème de naissance .
A ce stade, je pourrais annoncer l’élection de Nicolas Sarkozy, sans autres recherches. Mais, allons plus loin.
2° La figure de naissance de N.Sarkozy et les transits lents de l’élection
Pour peu qu’on envisage un comparatif entre les transits lents (de Jupiter à Pluton) de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal, on observe une convergence de cycles majeurs. C’est assez normal compte tenu de l’importance de l’événement, et cet aspect des choses accompagne toute élection présidentielle, d’où la complexité du sujet.
Note : Je ne reproduis pas ici la figure de naissance de Ségolène Royal et les transits en cours, mais si notre visiteur virtuel produit ce thème, il repérera un Soleil de naissance par le secteur VIII dissoné par Pluton céleste (lequel Soleil se retrouve au Milieu-du-Ciel du thème anniversaire 2006/2007, en conjonction avec la Lune, la dite conjonction étant évidemment en dissonance de Pluton.). En outre, ce même Pluton est dissonant à la Lune de naissance (en Poissons) et de Jupiter par les Gémeaux, l’ensemble constituant un triangle isocèle très tendu et peu productif de majorité (Jupiter) en écho à un public, une foule (Lune) - ce qui n’empêche pas la popularité, des partisans en nombre, mais écarte de la majorité. Dans le même sens, Saturne céleste en Lion transite le Descendant (le mandat) en exil (un fait qui échappe) à l’opposition de Neptune/Verseau/Ascendant - le cycle Saturne-Neptune étant celui de la Gauche (notamment de la Gauche de la Gauche, et d’une partie du PS) et de sa position actuelle : division, perte d’impact électoral, tendance à la révision ou/et recomposition... Il faut ajouter qu’avec un tel Saturne dissonant et au Descendant (union, contrat) la position de l’exil de l’astre signale aussi une difficulté à trouver un appui dans une alliance ou des soutiens (voir le cycle générationnel plus bas). On a vu le peu d’entrain des responsables socialistes à la candidature de Ségolène Royal, voire même les embrouilles dont elle a été victime. Dans ces conditions, être parvenue à ce stade de la compétition relève de l’exploit et d’une force réelle. Cette personnalité politique est une vraie valeur, même si tout n’est pas encore calé. A observer ses cycles, rien n’est terminé et, pour demain, il faudra compter avec sa présence : d’une façon ou d’une autre elle paraît inévitable dans le champ politique. Patience - elle en a ! Somme de toutes ces considérations, l’astrologue a beau chercher une "sortie victorieuse" à ce thème de naissance, il doit se résoudre à l’évidence : des situations et des personnages se sont ligués pour empêcher que culmine cette destinée, pour cette échéance précise.
Enfin, j’ajouterai, et contrairement à ce qui a été dit ou écrit ici ou là, que la "démocratie participative" n’a pas réussi à soulever cette lame de fond attendue par la candidate. Certes, les médias ont traduit un écho, entre scepticisme et ironie, et enthousiasme pour quelques-uns, mais la dissonance Pluton-Lune aux Poissons n’a pas permis qu’une adhésion et une cohérence se dégagent. Force est donc de constater que si les "citoyens sont les meilleurs experts de ce qui les concerne" - dixit Ségolène Royal - le plus grand nombre ne se sent pas concerné, par paresse intellectuelle, d’une part, par manque de générosité et d’allant vers l’autre, plus sûrement. Et puis finalement parce que notre société est - pour l’heure ? ou définitivement ? - tournée vers l’individualisme, le toujours et encore plus. Moins une force qu’une fragilité, cet aspect sociétal n’augure rien de bon pour un large demain.
Mais, revenons à la figure de naissance de Nicolas Sarkozy.
Outre la figure anniversaire du retour solaire pour janvier 2007, laquelle m’apparaît déterminante de cette élection à la présidence de la république, les transits des lentes apportent quelques précisions, notamment Uranus céleste en Poissons qui va au trigone de Saturne et Uranus de naissance, outre Pluton céleste qui rejoint le Fond-du-Ciel au trigone de sa position natale, sans compter avec le trigone avant de Saturne céleste à Vénus de naissance en Sagittaire, laquelle est en orbe de transit de conjonction avec Jupiter céleste, dans le cadre du cycle trigonal Jupiter-Saturne.
Cette figure de naissance apparaît extrêmement forte, tendue, mais soumise à une fatalité (quadrature Saturne-Pluton). En effet, la conjonction Jupiter-Uranus (droite libérale - et le "capitalisme familial" revendiqué par le candidat) représente une valeur de "verticalité" et de ’tension unitaire", de même que la conjonction Lune-Mars par le Bélier au Descendant signe une impulsion, une détermination, un souci de l’agir et du résultat - à l’opposé, c’est aussi le signe d’une vive opposition, d’alliance dangereuse, voire belliqueuse, et le risque - cliché mental - "d’une foule armée, enflammée, déterminée, d’un danger majeur..."
Faut-il avoir peur de la venue au pouvoir de Nicolas Sarkozy ?
Qu’on le veuille ou non, il est difficile d’échapper à une certaine rumeur touchant le candidat Nicolas Sarkozy. Il serait, pour résumer, selon certaines publications, une sorte de despote, etc. Une des plus belles illustrations de cette "peur" étant le brûlot écrit par Éric Besson, ex-membre du PS rallié de fraîche date au candidat de l’UMP. Théâtre des Guignols.
Cette peur, je ne la pense pas fondée, au sens d’une "rupture républicaine", d’un " danger pour la démocratie", etc. Mais, assurément, les astralités sont "dures", "tendues", "actives", Saturne par le Scorpion permettant cependant de les canaliser et de les rendre opportunes à une stratégie de fond. Par contre, je suis plus réservé quant aux principaux conseillers (exception faite de F. Fillon, de bonne composition), le lot de dissonances planétaires à l’intérieur de leur thème de naissance me paraissant inquiétant, source de troubles à venir. Cela posé , les forces d’opposition sont bien réelles, du latent au manifeste, d’autant que les leaders de l’opposition - mais aussi le candidat - , par leur verbe, attisent de façon subliminal un passage à l’acte.
Il est pourtant probable que ces conflits, pour la plupart, se régleront par la rue, puis s’apaiseront entre avancées et reculs de part et d’autre, mais rien n’est acquis. La logique incline à penser - mais nous ne sommes plus là dans le registre du cycle astrologique - que quittant son habit de candidat avec sa part de racolage électoral, l’essayage puis l’emploi du veston présidentiel donnera un ton plus ou moins ressemblant aux autres présidents de la Vème, l’intérêt de Nicolas Sarkozy, qui a tant aspiré au pouvoir suprême, n’étant pas de le perdre avant la fin de son quinquennat mais bien de viser l’autre échéance, celle de 2012. Malgré tout, l’hostilité de ses opposants est profonde, radicale et il est peu probable qu’il parvienne à les rassembler, voire à les faire plier.
A observer les cycles lents et rapides, cette présidence - mais j’aurai l’occasion, sans doute, d’y revenir - se joue sur les deux ans (d’ici la prochaine conjonction Jupiter-Neptune en 2009) à venir, et déjà dès la rentrée prochaine avec la boucle de Mars en Gémeaux/Cancer, phase marsienne qui promet une virulence sociale, des contestations, affrontements, au risque d’un embrasement d’une partie de la population - l’opposant - si la concertation est absente ou si les réformes apparaissent trop dirigistes. Certes, cette boucle marsienne (Mars) ne concerne pas uniquement la France et peut aussi se localiser dans d’autres pays, notamment dans les "îles", "l’Outre-mer" pour des questions d’indépendance, mais aussi l’Afrique, sans compter avec des événements en Iran, mais il est assez clair que la dite boucle se déroule en quadrature (dissonance, tension) au Mars natal de Nicolas Sarkozy, ce Mars étant au Descendant (ce qui est en face de soi : alliés ou opposants) et déroulant sa boucle sur le Milieu-du-Ciel du thème de naissance - sept. 2007 (à compter de l’orbe du 3 septembre) à mai 2008, avec différences phases sur lesquelles je reviendrai lors d’une livrée sur ce cycle marsien -, ce qui augure tout sauf le calme, la question de la race, de l’intégration, de la régulation, des flux migratoires, etc. pouvant se poser avec acuité. Ici encore, le climat ira de la simple contestation (manifestations) à la levée de masse (émeutes) : la négociation et/ou le recul seront alors d’actualité.
Plus largement, c’est en 2010 que la conjonction Jupiter-Uranus signifie un véritable "retour à une étape de croissance".
D’ici là, "tout est possible, même la chute de ce gouvernement né de l’élection du 6 mai 2007", autant le savoir, car il faudra dépasser les tensions de la quadrature Jupiter-Uranus, puis, se succédant, de l’opposition Saturne-Uranus de la Vierge aux Poissons, signes nous révélant le "travail" face à la "globalisation" dans une unité mondiale libérale - l’ordre marchand -, outre les profondes et incessantes transformations de secteurs entiers de certains métiers, fonctions, postes, etc. Autant de combats, de douleurs - pour les uns - et d’évolution de la marche du monde - pour tous.
3° Le thème générationnel, facteur déterminant.
J’observe que la notion de "cycle générationnel", dans le sens d’une lutte d’acquis bloc contre bloc, génération contre génération, participe de beaucoup à l’accès de Nicolas Sarkozy à l’Élysée.
Le candidat-président prône en effet le retour - la continuité ? - d’un "capitalisme familial" et d’une "transmission" exonérée de droits pour un pourcentage important de français - c’est l’indication du message, quant au fond technique, c’est affaire de spécialiste, l’intérêt étant la symbolique envoyée aux gens et les représentations psychiques qui en résultent.
A l’Etat-Providence maternant, protecteur, il s’agit de substituer un âge d’or du capitalisme familial et de la transmission entre lignée de possédants. Un certain paradoxe ressort d’une ligne politique qui revendique le "mérite par le travail" , la "France qui se lève tôt", etc., et qui privilégie une génération de nouveaux assistés du capital familial par la transmission, sans effort ni mérite pour les bénéficiaires. Je ne suis pas assez versé en théorie économique pour juger du bien-fondé de ce genre de politique, mais du strict point de vue de l’éthique et de l’égalité des chances , je comprends que cette perspective puisse choquer un certain nombre et attiser un "clivage sociétal". Mais le candidat a également "promis" une "France de propriétaires" : cela devrait au moins rassurer, un temps, le nombre de ceux qui désespèrent de le devenir et qui ont répondu à ce "phantasme de possédant" par le bulletin de vote.
Le transit de Pluton - avec une amorce relais de conjonction de Jupiter en 1919 - par le Cancer, jouera favorablement à l’endroit de Nicolas Sarkozy, en tant qu’il se superpose à sa conjonction Jupiter-Uranus par le Cancer à la naissance (Ce même cycle générationnel rencontre également l’Uranus/Cancer de Ségolène Royal, mais en quadrature (dissonance) de sa conjonction Saturne-Neptune par la Balance, le trigone à sa Lune en Poissons représentant alors, non une "dynamique", une "lame de fond" mais le pourcentage des exclus de cette génération : les souffrants, en échec, en dépendance, etc.
Cette vague générationnelle est particulièrement agissante pour la tranche allant de 1929 à 1943 (1943 : conjonction Saturne-Uranus).
Qu’est-ce à dire ? Que la "France d’après" promise par Nicolas Sarkozy, c’est d’abord un blanc-seing offert par la "France d’avant" ? Il y a lieu de le croire, cette génération "pesant" dans les urnes, et faisant la différence de part les influx cosmiques en sympathie avec le thème de naissance du candidat. Bien entendu, je n’affirme pas que ces seuls électeurs votent pour N. Sarkozy, mais comme il faut bien finir par obtenir une majorité, ceux-là lui offrent - cerise sur la gâteau.
Enfin, on note que la répétition du cycle Jupiter-Uranus (Droite) d’une période de 14 ans ainsi que ses phases (aspects harmoniques et dissonants) est plus nombreuse que la répétition du cycle Saturne-Neptune (Gauche) d’un cycle de 35 ans ainsi que de ses phases (idem). Force est donc de constater qu’au niveau du rythme cyclique, le cycle Jupiter-Uranus est valorisé par sa répétition, son dynamisme, son impérieuse verticalité, sa modernité, tandis que Saturne-Neptune participe d’une gestation plus lente, horizontale, participative, traditionnelle, archaïque...
On peut se poser la question de la pertinence du vote de cette génération reposant sur ses acquis(capital, rente) et ses peurs (sécurité, retraite ) par rapport au réel sociétal des autres générations, et de celles à venir.
Cette "victoire" n’est pas le reflet d’une réelle adhésion de la société active et en mouvement, mais la culmination du conservatisme de la "génération grise", bref des vieux.
Selon la politique menée, un choc générationnel est plus que plus que probable, le premier écho se repérant dans " la crise des banlieues" - pour partie - et dans celle du CPE . Le prochain Président devra en tenir compte, au risque de l’émeute et de l’éclatement. J’observe aussi, plus globalement - en référence à la conjonction Lune-Mars et Jupiter-Uranus de naissance - que l’élection de Nicolas Sarkozy procède du "phantasme" pour une grande partie de ses électeurs, et que si souvent la réalité est moins dure que le phantasme - pour les opposants d’aujourd’hui, cette fois - l’abandon de certaines options et promesses pourraient être ressenties douloureusement, voire même créer des situations anxiogènes.
En finale de cette livrée prévisionnelle, il est permis de dire que l’accès à la fonction de Président avec un passage majeur de Pluton au Fond-du-Ciel (nadir du thème de naissance, axe oppositionnel à la culmination) est en soi problématique et source d’épreuve, à tout le moins de sérieuses oppositions ( même à l’intérieur de sa famille politique), voire d’une certaine fatalité, à quoi s’ajoute le sextil arrière (cycle descendant) du cycle Jupiter-Neptune (qui concerne la Vème République, ses évolutions), sextil qui ouvre sur une nouvelle genèse du cycle par conjonction en 2009, et donc du paysage politique, soit en mode évolutif (continuité après toilettage ou/et réformes) soit en différenciation (remise en cause, annulation, et renouveau). Notons aussi que ce cycle concerne une étape européenne en addition du cycle traditionnel, Jupiter-Saturne : l’Europe libérale et sociale. De fait, comme je l’ai introduit plus haut : "ça passe ou ça casse". Concernant ’étape dite de "l’état de grâce", je ne crois pas à sa culmination au-delà de la rentrée de septembre 2007. Souhaitons, pour l’heure, bonne chance au nouveau président de la République.
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samedi 5 mai 2007
Marc CERBÈRE
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