Une conjonction Vénus-Saturne se forme le 18 septembre sur les 9° du Scorpion, au sextil de Pluton en Capricorne. La trace d’influence de ce cycle Vénus-Saturne va de la veille au lendemain, rarement plus, même si l’énergie contenue est ressentie vivement à l’intérieur de soi, du sentiment de fixité [confirmation] au manque [absence, frustration, spoliation,...], surtout en étant possesseur du cycle à la naissance.

Pour L’horoscope 2013, que vous soyez Bélier, Taureau, Gémeaux, Cancer, Lion, Vierge, Balance, Scorpion, Sagittaire, Capricorne, Verseau, Poissons,
la conjonction Vénus-Saturne du 18 septembre 2013 participe d’un cap de la vie amoureuse : fixité ou manque, absence. Le voisinage planétaire de cette conjonction peut se révéler important selon votre schéma personnel de vie. Pour en savoir plus de vos possibles et des cycles planétaires à venir : consultez les augures.

Conjonction Vénus-Saturne en Scorpion, le 18 septembre 2013

Etat de l’être ou cap d’engagement

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 Le cycle dynamique [céleste] est quelque peu différent du cycle statique [présence à la naissance] en cela que le premier passe, qu’il soit isolé ou relais, alors que second est imprimé à la naissance, disposé en lieu et présence dans le thème astrologique, et qu’il y demeure toute l’existence, sans que l’on puisse y changer, et qu’il est alors vécu dans une des composantes de l’expression du symbolisme, par le haut, par le bas, le marginal ou encore l’exception, mais dans la ligne générale que nous avons nommé dans un article : « L’incomplétude amoureuse ».

Cela posé, du fait de la répétition du semblable symbolique, les personnes qui possèdent une phase du cycle Vénus-Saturne [conjonction, sextil, trigone, carré, opposition, parallèle...] sont d’autant plus sensibilisées à la formation céleste [ex : le 18 sept. 2013], et l’influence varie alors du stade de l’état de l’être [le constat : fixité, totalité, ou manque et souffrance] à la manifestation d’un état amoureux en cas d’étape relais dans la vie privée [liaison]. Ajoutons que bien souvent cette conjonction Vénus-Saturne est déplacée dans la voie sociale, surtout chez les femmes, où l’ambition, jamais loin de l’amour et de son calcul, est prioritaire, l’une allant souvent de pair avec l’autre dans la réalisation ultime de l’existence [cas de l’amour raison qui élève socialement, financièrement...]. Et ce qui vaut pour la conjonction vaut pour les autres phases, en particulier le carré et l’opposition - mais selon la disposition globale du thème de naissance, les conclusions et conséquences dans l’avenir diffèrent.

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Alors que la conjonction [à la naissance] Vénus-Saturne peut s’accommoder dans le meilleur des cas d’un amour fidèle, non sans froide raison, assumée ou feinte, le vécu le plus courant est similaire à l’état du carré ou de l’opposition du cycle : célibat, difficulté à se lier, à se fixer, tendance à être abandonné[e] - ou à quitter avant d’être quitté[e] -, et en finale refuge dans des liaisons compliquées [partenaire pas libre, double vie], inadaptées [éloignement géographique, forte différence d’âge, infantilisme : extrême possessivité, jalousie maladive, dépendance alimentaire, financière, etc.], quand ce ne serait pas l’annulation pure et simple du registre amoureux.

A de rares exceptions près chez les femmes [les réalistes, les ambitieuses, les calculatrices], le registre du cycle Vénus-Saturne n’est guère reluisant, et plus généralement pour les deux sexes, au-delà du vernis de surface que telle ou tel montre à l’extérieur, dans les mots, il n’est pas difficile de relever la souffrance intérieure, les maux, et cet extrême manque de l’autre que masque le renoncement, au prétexte de l’indépendance [alors qu’il s’agit du contraire] ou du « je ne trouve personne ». Il arrive pourtant que le célibat soit assumé comme un choix de vie, et c’est alors méritant, mais rare. Et il est vrai aussi que ce type de cycle Vénus-Saturne est plus facile à digérer pour un homme, par essence plus libre dans son parcours, dans le choix de créer une famille ou pas, d’avoir des enfants ou pas, alors que chez la femme, et ce malgré la parité, le désir de grossesse domine la plus part du temps, c’est leur truc, et qu’alors en cas de séparation tout devient bien plus compliqué, surtout l’avenir.

La phase Vénus-Saturne du 18 septembre 2013

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Bien que cette coupe céleste Vénus-Saturne puisse s’assimiler à un retour de l’état de l’être, dans son intime, son émotionnel, ce qui s’appelle « tourner en rond », sans autre effet que le fantasme, ou qu’elle marque souvent le cap d’un bilan amoureux [séparation], voire parfois une douleur vécue dans la chair [disparition, veuvage], cette conjonction Vénus-Saturne peut aussi fonctionner comme un relais de confirmation dans la fixité d’un amour naissant, dans le cas d’une grosse configuration amoureuse [le sextil à Pluton aidant, voire l’orbe lâche de trigone - + 5° - vers Neptune en Poissons] souvent sans présence d’une des phases du cycle [Vénus-Saturne] à la naissance, ce qui est encore préférable. Elle est alors porteuse d’une joie fixe et d’un bonheur simple qui s’inscrivent dans la durée.