C’est le 28 janvier 2009, heure de Paris - le 27/01/2009 à 23H05 UT - que se forme le semi-carre - semi-quadrate - Jupiter-Uranus, du Verseau aux Poissons, entre 5°15’ et 20°15’.

Ce semi-carré est une des phases du cycle Jupiter-Uranus dont les dernières conjonctions se sont formées en 1983 et 1997 ; la prochaine se formant en 2010.

Réunissant Jupiter (le capital) et Uranus (individualisme ), ce cycle influence en force le courant politique et les économies dites « libérales », en adhésion au « marché », à la « mondialisation » - celle-ci englobant le grand cycle Uranus-Neptune.

semi-carre - semi-quadrate - Jupiter-Uranus, le 28 janvier 2009

Conséquemment à cette phase relais dissonante - semi-carré - du grand cycle Jupiter-Uranus, et compte tenu de l’importance des "tenailles" de la grande opposition Saturne-Uranus 2008-2010, il y a lieu de prévoir une aggravation de la crise du capitalisme dont les conséquences iront directement à la « casse des marchés » (affaires, commerce, valeurs, indices boursiers...) et à leurs répercussions sur l’emploi et la consommation.

C’est d’ailleurs à ce temps cosmique que se réunissent dès le 28 janvier, les « gens qui savent », nos « fumeux experts » de la gouvernance économique mondiale, à Davos ; en ressortira de belles paroles, des réflexions, des projets, bref du vent.

Dans le même temps, les mouvements sociaux vont aller en s’additionnant de par le monde , mais c’est moins la pulsion révolutionnaire et l’idée du « Grand Soir » qui les animent que l’angoisse, la peur du lendemain.

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D’un proche passé, nos experts en économie nous assuraient qu’aucune crise durable du capitalisme n’était d’actualité, puis il ont admis une « crise aiguë »... et se sont enfin rangés à l’idée d’une « crise sans précédent » - fustigeant l’arrogance et les excès des marchés, leurs anciens amis - , les plus prolixes - et grassement payés par les médias - s’accommodant du mot « récession ».

Présentement nous entrons - variablement et selon les pays touchés par le processus de récession - dans une zone de « stagnation » et de « déflation ». D’autres formes suivront ce temps.

Faut-il dire que si le scrupule de percevoir les dommages sociaux à venir n’encouragent pas à badiner sur cette grande crise, l’astrologue serait pris d’une crise de fou rire face à ces jean-foutre qui nous gouvernent.

Mauvaise pioche que ce temps cosmique.